Girondins de Bordeaux : Ricardo nous dit ses vérités

Ricardo ne s'était pas exprimé depuis sa première conférence de presse. Il a pris la succession de Gustavo Poyet début septembre. Comment se passe ce retour aux Girondins onze ans après son premier passage de 2005 à 2007 ? Sur le terrain et en dehors?


 

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Les résultats des Girondins sont en dents de scie c'est le moins que l'on puisse dire. Bordeaux est 11ème de L1 et presque éliminé en Ligue Europa. Ricardo ne veut pas être catégorique et évite le pessimisme. « Il y a des hauts et des bas. Mais on doit finir dans le haut de tableau derrière Paris, Lyon et Marseille. Il faut des résultats annonce-t-il ».

Aujourd'hui Ricardo revient avec un statut un peu particulier dont il parle sans gène. Nommé officiellement manager général car il n’a pas le diplôme pour entraîner en Ligue1, le Brésilien (avant il avait une dérogation mais aujourd’hui la législation est plus restrictive), âgé de 54 ans, est pourtant bien le responsable de l’équipe. Durant les matches, « je dois rester assis, pas de problème. Ce ne sera pas une excuse en cas de mauvais résultat. On une grande complicité avec Eric (Bedouet) »

Lors de cet entretien Ricardo a également évoqué sa santé. Il a en effet été victime d'un AVC en 2011.  «Il y a trois ans, je ne pensais jamais pour entraîner de nouveau. Alors là, je ne cache pas mon bonheur ».

Ces derniers mois, le destin du club a été plein de rebondissements qui ont tardivement trouvés une issue : le rachat du club par DaGrosa (patron de GACP). Ricardo est revenu au club alors que les négociations battaient leur plein. Pas de quoi perturber le Brésilen . « J’ai connu Jean-Louis Triaud en 2005. C’était un grand président. Maintenant avec DaGrosa, je suis bien entouré aussi explique-t-il ».

Reste maintenant à se concentrer sur l'avenir sportif des Girondins avec notamment en ligne de mire le match contre le PSG le 2 décembre. Un club où il a joué et qu'il a aussi entraîné dans les années 90 :«  j’en garde un très bon souvenir. C’est un grand club. Mais sur un match tout peut arriver. On verra ».
 

Voyez l'intégralité de cette interview réalisée par Nicolas Morin et Bertrand Joucla-Parker : 

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