Ce samedi 7 janvier 2023, deux équipes de taille de basket féminin : Feytiat basket contre Charnay Bourgogne Sud. Les filles de Feytiat jouent à domicile pour jouer une place décisive. Tiphaine Zinaï, capitaine de l’équipe haut-viennoise, répond aux questions de France 3 Limousin avant le match.
Le gymnase Roger Couderc à Feytiat, en Haute-Vienne, accueille un duel de choc. À 20 heures pétantes ce samedi, le coup d'envoi du match de ligue féminine de basket, opposant Feytiat à l'équipe de Charnay Bourgogne Sud, sera lancé. Les deux équipes, premières du classement, se préparent.
Tiphaine Zinaï, capitaine de l’équipe haut-viennoise, explique, au micro du journal du 12/13 de ce 3 janvier 2023, sa préparation, et celle de ses coéquipières avant le match.
Comment préparez-vous ce match de choc ?
On travaille dur. Nous avons repris le mardi 27 décembre dernier, après une semaine de vacances. On s’entraîne deux fois par jour. Depuis le début de l’année 2023, on ne relâche pas nos efforts pour le match de samedi.
Pour les deux équipes, ce sont 7 victoires et 2 défaites en neuf matchs. Sur le papier, Charnay reste-t-il le favori ?
Effectivement, c’est une équipe qui descend de première division avec de grosses ambitions de remontée dès cette année. Charnay Bourgogne Sud est donc le favori. Mais bon, on verra ce qui se passe samedi soir sur le terrain !
Tiphaine Zinaï, vous êtes promue dans cette division. Si on vous avait dit en début de saison, vous y auriez cru ?
Pas du tout ! Puis je pense que peu de personnes auraient imaginé notre classement à l’heure actuelle. C’est une belle surprise pour le club. On travaille sans relâche pour cette première place.
Quelles sont les forces de votre équipe ?
Je pense qu’on travaille énormément. On commence aussi à avoir nos repères et nous sommes plus disciplinées qu’en début de saison. On a construit notre identité dans cette première phase. Et je pense que cela commence à payer.
Vos objectifs ont-ils été revus à la hausse ?
Forcément, on est ambitieux. Quand on voit le dérouler de la phase, on a encore plus envie de l’être. Les play-off, ce sont les huit premières places. Si on fait une seconde partie de saison équivalente à la première, on devrait être dans cette compétition !