Dans le cadre du plan Vigipirate renforcé, une trentaine de militaires portent main forte aux gendarmes et policiers de Haute-Vienne. Leur mission : la surveillance des sites dits sensibles, comme les églises et les écoles. 

Première sortie remarquée pour les 29 militaires du 3ème RPIMa, le régiment de parachutistes d'infanterie de marine de Carcassone. En ce jour de Toussaint, ils étaient chargés de surveiller la cathédrale Saint-Etienne de Limoges, dans laquelle officiait l'évêque de Limoges. 

"Urgence attentat"

Et leur présence a été remarquée. Dissuasive. "Ca me rassure", expliquait un fidèle face aux militaires en armes qui patrouillaient sur le parvis. 

Suite à l'attentat qui a fait trois morts jeudi dans une église de Nice et après l'attaque d'un prêtre orthodoxe deux jours plus tard à Lyon, le plan Vigipirate a été porté au niveau "urgence attentat". Ces militaires renforcent les effectifs de police et de gendarmerie de la Haute-Vienne. 

Pendant deux semaines, ils sont affectés à la protection des sites à risques, comme les hôpitaux, les lieux de culte, les écoles. 



 


 
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