Trois salariées de l'établissement avaient porté plainte pour harcèlement moral contre leur directrice.
Le Tribunal de Grande Instance de Limoges a donné raison à l'une d'entre elles.
Elle a été relaxée pour les deux autres plaintes.
Les faits remontent à 2009.
Au terme de six ans de procédure, et après un premier classement sans suite par le Parquet, la justice a donc reconnu qu'au moins une salariée de la maison de retraite de Châlus avait subi un harcèlement moral de la part de son ancienne supérieure hiérarchique.
La directrice a été condamnée à 1 500€ d'amende et à 9 000€ de dommages et intérêts.
En 2013, l'Agence Régionale de Santé du Limousin avait suspendue la fonctionnaire de ses fonctions.