Le street art : l'officiel et l'illégal

Des graffitis sur les murs des villes. Alors que certains artistes s'expriment dans la clandestinité, d'autres sont en contrat avec des communes, pour exposer leur oeuvre au grand jour. 

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On les voit sur les murs des habitations, des usines, des gares, sur les ponts... des graffitis, souvent tracés de nuit, à l'abri des regards. A Limoges, un artiste manie ainsi le pochoir, Chriistian Beatch s'exprime dans l'espace public, à la manière de son modèle, le célèbre Banksy.

L'illégalité est inhérente au street art, et pourtant des artistes passent des contrats avec des communes. C'est le cas de Ken Thué, alias Neki. Il a peint les abris bus de Bellac, une commande officielle de la ville, qui lui évitera de voir son oeuvre recouverte d'un coup de peinture, après quelques jours seulement d'exposition.  
 

 

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