La garde à vue de l'homme interpellé à La Rochelle, samedi matin, a été levée. Il n'a pas été mis en examen.
Mise en liberté cet après-midi du Rochelais qui a appelé à décapiter Charb, le directeur de Charlie Hebdo.
Néanmoins, l'enquête se poursuit sur les agissements de cet homme d'une quarantaine d'années, habitant du quartier de Villeneuve-les-Salines, à La Rochelle.
Lors de son audition, l'homme n'aurait pas contesté les faits qui lui sont reprochés.
Son ordinateur, avec lequel il aurait posté ses menaces sur un site jihadiste, va faire l'objet d'examens appronfondis.
Sa non mise en examen accréditerait la thèse d'un acte isolé et d'un violent mouvement d'humeur lié aux publications cette semaine, par le journal Charlie hebdo, de caricatures du prophète des musulmans.