Un retraité a refusé de quitter sa maison; il vit désormais au rythme du chantier de la LGV.
A Poitiers, alors que le chantier de la LGV se poursuit, les expropriations ont été menées et les habitants concernés ont dû se résoudre à vendre leur maison. Tous, sauf un irréductible.
Bernard Boutin est retraité; cet ancien électricien de 65 ans a passé la moitié de sa vie dans sa maison située tout près du chantier de la future ligne à grande vitesse.
Malgré le bruit et l'absence de voisins - tous partis-, il reste chez lui et refuse de céder son terrain.