Le contrat, accord de principe pour le moment, est unanimement salué. 126 exemplaires pour objectif
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Projet de vente de rafale en Inde avec transfert t
L'avionneur Dassault vient de se voir confirmer le choix du rafale pour équiper l'Inde, le projet porte sur la livraison de 216 exemplaires, seuls 18 seront réalisés en France, le reste sera construit sur le principe d'échange de technologie. Les sous-traitants sont ravis.
Sur cet ensemble au centre de l'accord entre l'Inde et l'avionneur français sur les 126 exemplaires, seuls dix-huit seront construits en France, dans les unités aquitaines de l'entreprise : Mérignac, Martignas et Biarritz. Les sous-traitants voient ce contrat comme de bon augure.
Les détails du contrat sont en cours de négociation, pour l'instant, les responsables de l'entreprise Dassault sont peu diserts. Echaudés par de précédentes promesses, dans différents pays, dont les plus importants le Brésil, les Emirats arabes unis, puis le Maroc, la Corée, Singapour et la Suisse.
C'est dans le détail qui porte la conclusion favorable pour les deux parties au contrat. Donc il est un peu prématuré de crier victoire pour l'instant. La construction de chaque exemplaire implique des technologies diverses, si les principales sont détenues par les deux plus grosses entreprises, Dassault et Thales, beaucoup de sous-traitants sont dispersés dans la région.
Potez, Lauak, Exameca, Messier et autres sont tributaires de l'évolution du carnet de commande de Dassault. Sur les 18 exemplaires prévus en France, les sous-traitants sont parties au projet, mais pour le reste des avions en commande, qu'elle sera l'implication de la sous-traitance ?
Comme Dassault est le donneur d'ordre dans la réalisation des pièces de sous-traitance, il impose un cahier des charges précis pour les pièces réalisées par la sous-traitance, l'avionneur est capable de présenter ce même cahier des charges à des sous-traitants indiens. C'est identique en matière d'informatique, embarquée ou d'aide au pilotage, les indiens ont acquis une maîtrise en informatique qui peut leur permettre de reprendre les normes actuelles voir de répondre à d'autres exigences pour ce type d'avion de combat.
Les échecs cuisants des contrats que Dassault annonçait de façon parcimonieuse, ont souvent été le résultat de positions intransigeantes de la part de l'actionnaire principal. Le Rafale a eu un marché, un seul et unique, celui de l'Armée française, en 2004, la version marine pour la Marine Nationale, puis en 2006, l'Armée de l'air. Mais sur le plan international, le Rafale a plu en tant qu'avion, mais a déçu en matière de commercialisation.
