Huit cas d'empoisonnement sur des patients décédés après injection létale sont reprochés à l'ex urgentiste. Le docteur Bonnemaison se dit prêt selon ses avocats à se défendre devant un jury populaire. Décision des juges d'instruction dans quelques semaines.
Reportage de Fabrice Bidault :
Réaction de l'un des soutiens du Dr Bonnemaison, Jean Michel Gouffrant, un ancien chirurgien dans une clinique de Bayonne :