Les irrigants s'attendaient à une telle décision, ils en avaient été informés. Aujourd'hui, ils souhaitent trouver un consensus avec toutes les parties prenantes pour mettre en place un système qui satisfasse tout le monde.
Mais ils rappellent également qu'aucune plante ne pousse sans eau et que si l'on refuse les bassines, on risque de mettre en péril de nombreuses productions.
Un avis que les anti-bassines sont loin de partager. Selon eux les bassines puisent dans les nappes phréatiques au moment où elles se reconstituent et ils dénoncent une forme de confiscation du bien commun au profit des seuls irrigants.
Le point sur le dossier avec le reportage d'Isabel Hirsch, Stéphane Bourin et Bénédicte Biraud :
Le point sur le financement des retenues d'eau