Deux gendrames étaient en garde-à-vue, vendredi. Elle devait être levée dans la journée de samedi.
Beaucoup de questions demeurent après la mort d'Angelo Garand, un détenu du centre pénitencier de Vivonne (86) en cavale, tombé sous les balles du GIGN, dans la ferme de ses parents, au sud de Blois (41).
Deux gendrames étaient en garde-à-vue, vendredi. Elle devait être levée dans la journée de samedi.
Selon sa famille, il n'était pas armé, mais le procureur de la République de Blois semble suivre la ligne de la légitime défense, pronée par les gendarmes et leur collègue tireur, seuls témoins directs des faits.