L'enquête se poursuit dans l'affaire des essais cliniques illégaux. Au moins de novembre, cinq personnes, dont le professeur Fourtillan, ont été placées en garde à vue.
Dans l’affaire des essais cliniques illégaux, le professeur Fourtillan a été placé en garde à vue pour avoir conçu et testé des patchs sans autorisation, mais il n’est pas le seul.
Quatre autres personnes toute membre du fonds Josefa ont elles aussi été entendues par les enquêteurs. Le 13 novembre dernier, ils sont venus entendre une des sœurs du sacré-cœur dont le nom apparait dans l'organigramme du Fonds Josefa.
Christian Auclair, membre du conseil d'administration du fonds Joseaf a lui aussi été entendu. Il a suivi de près les recherches de Jean-Bernard Fourtillan.
Cette structure, montée pour financer les recherches de Jean-Bernard Fourtillan, porte donc le nom d’une religieuse espagnole qui a vécu à Poitiers au début des années 1920 et dont subsistent aujourd’hui les écrits.
La congrégation continue de soutenir Jean-Bernard Fourtillan
Christian Auclair est aussi président de l'œuvre du sacré-cœur, qui vise à diffuser son message et accueille chaque année ici des centaines de pèlerins.Cette congrégation se retrouve aujourd'hui au cœur d'une vaste enquête dans l’affaire des essais cliniques illégaux, mais continue de soutenir le pharmacologue poitevin.