Alors que la LGV Paris/Bordeaux a été ouverte en juillet dernier, les contentieux en justice eux ne sont pas clos. Certains riverains et agriculteurs s'estiment victimes depuis de longues années des conséquences du chantier sur leur propriété. Ils ont saisi la juridiction administrative.
C'est le cas d'un agriculteur de Rom dans la Vienne. Philippe Béguin affirme que pendant toute la durée du chantier "c'était un parcours du combattant tous les jours pour les éviter en allant travailler. Eux passaient sur mes terrains, c'était un comportement de voyoux". L'agriculteur a perdu presque onze hectares sur son exploitation et six de ses parcelles sont traversées par la LGV, ce qui lui rend le travail plus difficile.
Plus d'informations avec le reportage d'Anne-Marie Baillargé et Stéphane Bourin :