Un temps à ne pas mettre matou dehors, des toros sans complications majeures et un casting vu, revu, trop vu : El Cid n'est plus que l'ombre de lui-même, pathétique. El Fandi joue le sempiternel acrobate et Del Álamo a tendance à se contenter du rôle de "peut mieux faire". Doit mieux faire et vite.
Mercredi 21 Mai 2014.
Plaza de toros de Las Ventas.19h.
Douzième séance de la San Isidro.
Corrida de la Presse.
Manuel Jesús « El Cid » : silence et silence
David Fandila « El Fandi » : silence et silence
Juan del Álamo : une oreille et silence
Six cornus de la devise de Juan Pedro Domecq (de 490 à 560 kg ; moyenne : 523,32) de belles charpentes et astifinos. Douze piques. Un brin faibles mais d’une noblesse indéniable chez trois d’entre eux. De quoi toréer.
A vue d'oeil, un zeste moins de trois-quart d'arènes. Temps de chien sans son bien-être animal. Guère plus de 11 degrés, pluie et vent violents.