Impresarios, aficionados, toreros, éleveurs, on a l'impression ces jours-ci que tous les protagonistes des arènes se lamentent. C'est l'hiver sans doute qui veut ça. Il y a pourtant, sans être nigaud, des raisons d'espérer.
Les toros sont loin d'avoir fini de galoper.
Dans les arènes, dans les rues des villes. Et aussi dans nos cœurs. Ils sont le symbole de la force et de la liberté.
Lire à ce sujet, ici Les toros et les gratte ciel.