Baratero, le dernier Adolfo de l'après-midi, chargeait avec une viloence redoutable. Manolo Escribano, mis en danger aux banderilles, a su être patient. Il ne s'est jamais découragé. Et il a fini par donner à ce toro de grande caste 4 naturelles de grande valeur.
Madrid, Las Ventas. Vinfgt-huitième corrida de la feria de San Isidro.
Toros de Adolfo Martín, tous compliqués à divers degrés.
Diego Urdiales, ovation et ovation (un avis)
Sebastien Castella, silence (un avis) et silence (un avis)
Manuel Escribano, silence et une oreille.
Sébastien Castella a répondu à la fin du paseo, timidement et depuis le callejón, aux applaudissements qui accueillaient en lui le probable triomphateur du cycle 2015.
Manuel Escribano est allé deux fois "a porta gaiola".
Plein absolu; été absolu.