Neuf mois après le scrutin, l'élection municipale de la ville d'Alès a été confirmée ce vendredi par le tribunal administratif de Nîmes. Les recours déposés par deux candidats battus en mars dernier ont été rejetés. Avec 57% des suffrages, Max Roustan, maire LR sortant, reste donc bien en fonction.
Les résultats de l'élection étaient contestés par Paul Planque (le Printemps Alésien, près de 23%) et Marc Peyroche (Alès en commun, près de 4%).
Les deux opposants au maire élu contestaient les comptes de campagne de la liste de Max Roustan.
Le conflit portait également sur Christophe Rivenq, co-listier du maire élu, ancien directeur général des services démissionnaire, mais considéré en poste par les deux candidats battus. Le tribunal administratif de Nîmes n'a pas considéré ces éléments susceptibles d'invalider l'élection.
Premier adjoint au maire, Christophe Rivenq est devenu en juillet président d'Alès Agglo.
Un merci tout particulier à #MaxRoustan, mon ami, maire d’#Alès et désormais 1er vice-président de l’Agglo, aux côtés de qui j’œuvre depuis presque 30 ans pour la @VilledAles et #AlèsAgglomération, qui a proposé ma candidature et qui m’a encouragé à lui succéder ? https://t.co/5Mq7q3zCHW
— Christophe Rivenq (@CRivenq) July 15, 2020
La décision pourrait désormais faire l'objet d'un appel devant le Conseil d'État.