Alors que les besoins des malades sont toujours aussi importants, les donneurs se rendent de moins en moins dans les centres de prélèvement, notamment à l'Établissement français du sang à Nîmes.
Entre les fêtes, les départs en vacances, et les épidémies de grippe et de gastro entérite, le début d'année n'est pas une période faste pour le don du sang. Pourtant les besoins sont là.
Aujourd'hui au plan national les stocks de produits sanguins atteignent 10 jours au lieu des 15 nécessaires.Un déficit qui provient en partie du manque de régularité des dons tout au long de l'année.
Et si, pour bien commencer l'année, vous mettiez à l'agenda un #DonDeSang pour les premiers jours de 2018 ?
— EFS (@EFS_Officiel) 29 décembre 2017
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À Nîmes, l'Établissement français du sang a élargi ses horaires matinaux et réfléchit à d'autres pistes pour atteindre les 15% de produits sanguins supplémentaires dont il aura besoin en 2018. "Une organisation au niveau de la ville de Nîmes d'une collecte fixe en plus grand nombre serait potentiellement intéressante pour augmenter nos ressources", affirme le docteur William Bianco.
Chaque année en France le don du sang permet de soigner 1 million de malades.