Selon Le Parisien, qui publie une estimation du nombre de restaurants à kebabs en France, c'est dans le Gers que l'on en trouve le moins.
Le Gers ferait-il de la résistance au "grec" ou "kebab", ce sandwich mêlant pain, crudités, viande grillée et sauce au choix ?
Selon une estimation du nombre de restaurants à kebabs en France publiée par Le Parisien, le Gers serait le département où l'on compte le moins de kebabs en France.
L'enquête du Parisien montre par exemple que l'on compte plus de 200 kebabs par million d'habitants à Paris, entre 150 et 200 pour la même proportion d'habitants en Haute-Garonne et à Toulouse.
Nos confrères estiment à 25 restaurants kebab pour un million d'habitants dans le département du Gers : rapporté à la population réelle du département, environ 190 000 personnes, il n'y aurait donc moins de 5 kebabs dans le département. Record de France.
Pourtant, le kebab gagne du terrain, notamment à la campagne. Alors pour quelles raisons le Gers résiste-t-il ?
L'enquête ne dit pas si les traditions et la gastronomie locales, le foie gras, le canard, ou bien l'absence de grands centres urbains expliquent que le kebab n'ait pas encore percé au pays des mousquetaires.