Comment vivent les militaires du 1er RHP de Tarbes en Centrafrique ?

Depuis un mois, 150 hommes du 1er régiment de hussards parachutistes de Tarbes sont en Centrafrique pour participer à l'opération Sangaris. Leur mission : sécuriser la capitale et les grands axes vers le Nord du pays. Retour en photos et vidéo sur leur travail.

Le 3eme escadron du 1er RHP de Tarbes a pris ses quartiers au cœur de Bangui ainsi qu'au nord du pays. Les patrouilles en véhicules blindés légers (VBL) et véhicules de l’avant blindé, armés de canons de 20mm, contribuent, aux côtés de la MISCA (Mission Internationale de Soutien à la Centrafrique sous conduite Africaine), à  contenir la violence dans la capitale centrafricaine

Des envoyés spéciaux de France 2 ont suivi une patrouille du 1er RHP, à bord d'un blindé léger qui quadrille Bangui. La situation peut rapidement dégénérer entre eux et les chrétiens qui vivent juste en face. Entre les deux camps, les militaires français tentent de faire tomber les machettes.##fr3r_https_disabled##
Les hussards parachutistes du 3e escadron ont débarqué du BPC Dixmude à Douala au Cameroun il y a un mois. Ils sont ensuite passés en Centrafrique Bossembelé puis Bangui soit un périple de plus de 1500 kilomètres, d'après un communiqué de l'armée de terre. Comme au Mali, l’échelon blindé d’urgence de la 11e brigade parachutiste a été engagé dès l’ouverture du théâtre d’opération Sangaris.

Capitaine Joseph, commandant de l'escadron

L’entrainement et l’instruction menés quotidiennement au quartier Larrey et sur le camp de Ger sont aujourd’hui la base d’un savoir opérationnel essentiel à la réussite de la mission





 

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