Face à la pression et aux divers sévices psychologiques que les femmes des forces de l'ordre peuvent rencontrer sur le terrain, des stages de sports sont organisés à Lodève dans l'Hérault.
Ces jeunes femmes ont le sourire, discutent tranquillement en échangeant quelques volants de badminton. Elles ont enfilé leur t-shirt estampillé "gendarmerie", "police" ou "pompier".
Parmi elle, une gendarme dans le civil. A Lodève ce lundi elle a, comme une trentaine de femmes policiers, gendarmes ou encore pompiers délaissé la tenue pour faire du sport sans pression.
Une journée dédiée aux femmes qui exercent dans ces grandes institutions nationales et pour échanger et surtout se changer les idées.
20 % de femmes dans la police nationale
Des institutions qui se sont féminisées. Aujourd'hui les effectifs de la police nationale compte 20% de femme. Au même titre que les hommes leur mission est d'assurer en toutes circonstances la sécurité des citoyens.
Pour ces femmes le sport est indispensable pour leur profession et leur équilibre.
A l'origine de cette journée, la Fédération Sportive de la police nationale qui envisage de rééditer l'expérience un peu partout en France.
Pour ces femmes cette pause est la bienvenue dans une période placée sous haute tension sécuritaire. Une forme de reconnaissance aussi.
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