Les trois quarts des nappes phréatiques de France présentent un niveau "modérément bas à très bas", du fait d'une recharge hivernale déficiente explique le BRGM. Seuls 26% des points suivis se situent autour de la moyenne voire plus hauts. Comme dans les secteurs de Nîmes et Montpellier.
Pour une fois, le Languedoc-Roussillon n'est pas un mauvais élève. Pas de sécheresse en vue cette année. Même si quelques secteurs comme l'Est du Gard et l'Ouest de l'Aude et de l'Hérault sont en vigilance, les réserves profondes en eau sont à des niveaux normaux voire supérieurs à la moyenne.
Les trois quarts des nappes phréatiques de France présentent un niveau "modérément bas à très bas", du fait d'une recharge hivernale déficiente explique le BRGM. Seuls 26% des points suivis se situent autour de la moyenne voire plus hauts. Comme dans les secteurs de Nîmes et Montpellier.
•
©F3 LR
Nos nappes phréatiques, souvent parmi les plus basses du pays en période estivale, se sont bien rechargées grâce aux importantes précipitations de l'hiver dernier.
Sur cette carte, le Languedoc-Roussillon est placé, dans sa quasi totalité, en état de vigilance. Le premier échelon de restrictions. Un faible niveau d'alerte, contrairement aux départements de Midi-Pyrénées.
4 départements sont placés en état de crise hydrique. Comme le Gers, le Tarn et le tarn-et-Garonne où la consommation d'eau est très encadrée.