10 jours après le meurtre de la jeune fille retrouvée assassinée dans un village des Pyrénées-Orientales, l'enquête progresse. Un ADN masculin de référence a été isolé.
Du nouveau, dix jours après le meurtre de la jeune Priscillia, un ADN masculin a été isolé.
L'expertise en recherche d'éléments biologiques a permis d'isoler un profil ADN masculin de référence. Les comparaisons qui ont pu être entreprises n'ont pas encore permis l'identification d'un suspect", précise dans un communiqué Bruno albouy, procureur de la République adjoint au parquet de Perpignan.
Agressée sexuellement et poignardée
Priscillia, 18 ans, avait disparu après le bal des pompiers le samedi 6 juillet. Le corps sans vie de la jeune fille avait été retrouvé le lendemain dans le cimetière d'Estagel. D'après les premiers éléments de l'enquête, elle aurait été victime d'une agression sexuelle et poignardée à cinq reprises, avant de succomber à une asphyxie.
Information judiciaire ouverte
Le parquet de Perpignan a ouvert le lundi 17 juillet dans le dossier du meurtre commis sur la personne de Priscillia Gonzales Manrubio, une information judiciaire contre X des chefs d'homicide volontaire commis sur une personne vulnérable et agression sexuelle commise à l'aide ou sous la menace d'une arme, sur une personne vulnérable.
Les investigations menées par les gendarmes de la section de recherches de Montpellier, de la brigade de recherches de Rivesaltes et du groupement des Pyrénées-Orientales, se poursuivent sous l'autorité d'un juge d'instruction.