Selon une information de nos confrères d'RTL, un diplômé de chimie avait installé un laboratoire clandestin dans la salle de bain de son appartement dans le XIXème arrondissement.
Le suspect détenait plusieurs centaines de grammes de poudre contenus dans des petites fioles ainsi que des armes. Il confectionnait un équivalent de l’antalgique de la dernière chance (Fentanyl) : un anti douleur puissant pouvant se substituer à l’héroïne. Sa garde à vue devrait prendre fin ce vendredi.
Les enquêteurs se demandent actuellement comment ce chimiste a réussi à se procurer ses produits hautement chimiques et rappellent que ce genre de drogue est mortelle.