Après le premier cas suspecté à la descente de l'avion en provenance de Conakry, samedi 18 octobre, et qui s'est finalement avéré négatif, un autre cas suspect a été signalé, samedi soir dans le Val-d'Oise.
Une femme, qui présentait des symptômes, douleurs abdominales et fièvre, a été conduite à l'hôpital militaire Bégin, dans le Val-de-Marne, pour
des analyses approfondies. Le sous-préfet d'Argenteuil, Yves Rousset, chargé de cette communication, ne disposait pas, pour l'heure, d'autres informations.
Aujourd'hui, ce sont seulement une quinzaine de cas qui ont été, le temps d'analyses, considérés comme "possibles" depuis juin.
Le ministère de la Santé a rappelé, samedi, qu'il "informerait immédiatement la population" si un premier cas devait être confirmé en France.