Un gendarme des Transports aériens s'est suicidé le 18 septembre avec son arme de service et sur son lieu de travail à Issy-les-Moulineaux, dans les Hauts-de-Seine. Dans une lettre, le gendarme met en cause sa hiérarchie.
Un gendarme des Transports aériens s'est suicidé le 18 septembre avec son arme de service et sur son lieu de travail à Issy-les-Moulineaux, dans les Hauts-de-Seine. Selon une source proche de l'enquête, rapportée par l'AFP, l'homme a mis en cause sa hiérarchie, avant de commettre son geste.
Une lettre met en cause la hiérarchie
L'affaire a été révélée par le magazine L'Essor de la gendarmerie. Le gendarme, major à la gendarmerie des transports aériens, a mis fin à ses jours dans le sas de la salle des coffres, avec son arme de service. Il a laissé une lettre, dans laquelle il met en cause son supérieur hiérarchique.L'inspection générale de la gendarmerie nationale a été saisie, rapporte l'AFP. Selon la gendarmerie, le major n'avait jamais saisi aucune des autorités compétentes concernant ces problèmes.