77: Fin de traque pour le tueur du policier

L'essentiel du jour : notre sélection exclusive
Chaque jour, notre rédaction vous réserve le meilleur de l'info régionale. Une sélection rien que pour vous, pour rester en lien avec vos régions.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "L'essentiel du jour : notre sélection exclusive". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité
video title

77: fin de traque pour le tueur du policier

3 membres présumé de l'ETA, l'organisation séparatiste basque ont été interpellé hier après-midi en Bourgogne. L'un d'eux est soupçonné d'être l'auteur du meurtre d'un policier français en 2010 lors d'un contrôle qui avait mal tourné près de Dammarie les Lys en Seine et Marne

3 membres présumés de l'ETA, l'organisation séparatiste basque ont été interpellés hier après-midi en Bourgogne. L'un d'eux est soupçonné d'être l'auteur du meurtre  d'un policier français en 2010 lors d'un contrôle qui avait mal tourné près de Dammarie les Lys en Seine et Marne.

Trois membres présumés de l'organisation séparatiste basque ETA, dont l'un est soupçonné d'être impliqué dans la mort d'un policier français dans une fusillade en Seine-et-Marne en 2010, ont été interpellés samedi à Joigny dans l'Yonne, selon le Ministère de l'Intérieur.

Le 16 mars 2010, un policier de 52 ans, père de quatre enfants, avait été tué au cours d'un échange de tirs à Dammarie-Les-Lys, en Seine-et-Marne.

Si des policiers ou des gendarmes français avaient été blessés par l'ETA dans le passé, c'était la première fois que l'un d'eux trouvait la mort.
Cet événement avait suscité une vive émotion en France et en Espagne, le président
Nicolas Sarkozy mettant directement en cause "un commando terroriste de l'ETA" et souhaitant que tous ses membres "soient rapidement interpellés, traduits devant la justice et sévèrement punis".

Depuis, plusieurs personnes soupçonnées d'avoir appartenu ou soutenu ce commando
ont été interpellées, notamment, quelques jours après les faits, à Bayonne (Pyrénées-Atlantiques), Mikel Karrera Sarobe, alias "Ata", considéré comme le chef militaire d'ETA. Il a été mis en examen en juillet 2010 dans ce dossier.
Un homme de 27 ans, Joseba Fernandez Aspurz, avait lui été arrêté juste avant la fusillade, survenue lors d'un contrôle qui avait mal tourné, et fait état de son appartenance à l'ETA. Au moins cinq autres personnes, dont une femme, avaient pris la fuite.

Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Veuillez choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité
Je veux en savoir plus sur
le sujet
Veuillez choisir une région
en region
Veuillez choisir une région
sélectionner une région ou un sujet pour confirmer
Toute l'information