Le ministère de l'Intérieur a renoué avec une tradition abandonnée par ses prédécesseurs : établir le compte des voitures brûlées pendant la nuit du 31 décembre. Il y en a eu 1067 entre 2013 et 2014, soit une baisse de 10% par rapport à l'année précédente.
Souhaitant afficher une "totale transparence sur le niveau de délinquance et de la criminalité", Manuel Valls s'est réjoui de la baisse significative (-10,6%) du nombre de véhicules brûlés du 31 décembre 18H00 au 1er janvier 17H00. Ce chiffre s'élève en France à 1.067 contre 1.193 l'année précédente. Pour la région francilienne, la Seine-Saint-Denis arrive toujours en tête des départements les plus touchés avec 80 véhicules devant le Nord (62) et le Bas-Rhin (50). La capitale est en fin de classement, on déplore à Paris, 3 voitures brûlées.