C'est un projet qui est dans les cartons depuis...1998. Censé être opérationnel en 2024, le CDG Express vit aujourd'hui des semaines décisives, alors que la fronde gronde plus que jamais contre ce projet qui risque de fragiliser un peu plus le RER B et ses 900.000 voyageurs. Parigo fait le point.
Les partisans du projet n’en démordent pas : le CDG express est indispensable à la desserte du deuxième aéroport européen. Destinée d'abord aux touristes, la navette doit mettre 20 minutes pour relier l'aéroport à la gare de l'Est pour un coût de 24 euros.
Le #CDGExpress sera t-il au rdv de #Paris2024 ? @Elisabeth_Borne arbitrera mi-février. Dans #Parigo, le n°2 du @GroupeADP ouvre la voie à un report après 2025 pour préserver le #RERB
— Bertrand Lambert (@B_Lambert75) 1 février 2019
► A découvrir ce samedi à 12h05 sur @France3Paris puis ici https://t.co/n3UpyV6KjI#transports pic.twitter.com/wlsdzBDflo
Dans ce nouveau numéro de Parigo, nous irons à la rencontre de ceux qui s'élèvent contre le projet du CDG Express. Elus de tous bords et associations d'usagers insistent sur la nécessité de privilégier les transports du quotidien. Stéphane Troussel, président du conseil départemental de Seine-Saint-Denis nous fera part de ses craintes.
Un report après 2025 ?
Au programme de ce numéro de Parigo, entretien vérité avec le numéro 2 du groupe Aéroports de Paris, Edward Arkwright. Il nous expliquera que son groupe ouvre la voie à un report après 2025 pour préserver le RER B.Enfin, nous irons voir concrètement les moyens de transports utilisés aujourd’hui par les 72 millions de passagers de Roissy. Dans l’immense majorité, c’est par la route qu’ils rallient la capitale.