Les cinq personnes placées en garde à vue lundi dans l'enquête sur la tuerie à la préfecture de police de Paris ont toutes été remises en liberté. Aucune charge n'a été retenue contre elles.
L'enquête se poursuit pour comprendre comment Mickaël Harpon, fonctionnaire de police, en est arrivé a tué quatre de ses collègues, et les questions demeurent.
Les cinq personnes qui ont été interpellées à Gonesse dans la nuit de dimanche à lundi et placées en garde à vue ont toutes été remises en liberté. Certaines d'entre elles ont entendues par les enquêteurs pendant 72 heures.
Ces cinq personnes avait été présentées comme des proches de l'informaticien de 45 ans. Elles ont été remises en liberté. Aucune charge n'a été retenues contre elles.
L'enquête vise à comprendre si l'attentat est le fait d'un coup de folie solitaire sur fond d'autoradicalisation ou si Mickaël Harpon a bénéficié pour son projet meurtrier de complices ou d'inspirateurs.