Le patron de Libération Nicolas Demorand a déclaré que "Le journal [était] est traumatisé", après les coups de feu de lundi matin. "Nous sommes en France, nous sommes en 2013, il y a un niveau de violence élevé qui compromet le libre travail dans un certain nombre de rédactions" a-t-il ajouté.
>> Voir l'interview de Nicolas Demorand, patron de Libération, suite aux coups de feu qui ont été tirés dans le hall du quotidien, ce lundi matin à Paris :
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