Une étudiante de l'Université américaine de Paris est décédée en février dernier, et un autre cas a été diagnostiqué en mai, dans le même établissement. Environ 200 étudiants ont dû être vaccinés, a indiqué l'Agence régionale de santé, jeudi.
Un cas de méningite W a causé la mort d'une étudiante de l'Université américaine de Paris, en février dernier, a indiqué l'Agence régionale de santé d'Île-de-France jeudi. Un autre cas a également été diagnostiqué, en mai, chez un autre étudiant de l'établissement.
Suite au diagnostic du premier cas, une campagne de vaccination et de traitement préventif avait concerné les personnes "en contact direct, répété et rapproché" avec l'étudiante décédée.
200 étudiants vaccinés
Après le deuxième cas diagnostiqué en mai, environ 200 personnes ont été vaccinées pour "interrompre une possible circulation du germe au sein de cette communauté", a précisé l'ARS.Le méningocoque est un germe très fragile qui ne survit pas dans l'environnement mais se transmet par la salive.