Plusieurs milliers de personnes se sont élancées de la place d'Italie pour protester contre le projet de réforme du code du travail. Quelques heurts donnant lieu à des interpellations ont eu lieu dans la capitale, comme dans d'autres villes en France.
Ambiance barbecue place d'Italie, lieu de départ de la principale manifestation parisienne du jeudi 31 mars, contre le projet de réforme du code du travail. A l'appel des organisations syndicales, plusieurs milliers de personnes devaient lentement rejoindre dans l'après-midi la place de la Nation. Selon la préfecture, entre 26.000 et 28.000 personnes ont participé à la manifestation.
En tête de cortège, les principales figures des syndicats, à l'origine de la manifestation : Philippe Martinez (CGT), Bernadette Groison (FSU), Jean-Claude Mailly (FO) et William Martinet (Unef)... Une banderole réclamant le "retrait du projet de loi El Khomri" était installée en tête de la manifestation.
En tête de cortège, les principales figures des syndicats, à l'origine de la manifestation : Philippe Martinez (CGT), Bernadette Groison (FSU), Jean-Claude Mailly (FO) et William Martinet (Unef)... Une banderole réclamant le "retrait du projet de loi El Khomri" était installée en tête de la manifestation.
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Une dizaine d'interpellations à Paris
Des heurts ont éclaté en marge des cortèges, dans plusieurs villes de France. Certains jeunes cagoulés ont lancé des projectiles sur les forces de l'ordre. A Paris, des lycéens avaient entamé une marche depuis Nation, avant la manifestation syndicale. Une dizaine d'interpellations ont eu lieu dans la capitale, a annoncé la préfecture de police.
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Des lycées ont par ailleurs été bloqués, ou fermés, comme les lycées Henri-Bergson et Georges-Brassens, dans le 19ème arrondissement.
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