L’accord, signé mardi 14 août par les quatre syndicats représentatifs de l’entreprise, prévoit un report de licenciement de deux mois pour les salariés.
Deux semaines après l'arrêt du service d'autopartage, les 260 salariés de la société du groupe Bolloré viennent de signer un accord, finalisant ainsi de nombreuses négociations entre la direction et les délégués.
Accepté par les quatre syndicats représentatifs de l’entreprise – FO, la CGT, SUD et la CFDT –, le plan de sauvegarde de l'emploi en question prévoit un report de licenciement de deux mois. Au lieu de recevoir la notification de licenciement le 31 août, les syndicats ont réussi à repousser la date au 31 octobre.
Un plan social mis œuvre autour du 1er septembre
Le plan comprend également la mise en place de départs anticipés, des aides à la mobilité, un congé de reclassement de huit mois, des aides à la création d'entreprise ou à la formation, ainsi que la recherche de reclassement interne et externe.Alors qu’une cellule de reclassement en interne est déjà lancée depuis une semaine pour les salariés, l’accord – bientôt validé par les services de l'Etat – devrait être mis en œuvre autour du 1er septembre.