Pierre Niney, Camille Cottin ou encore Jonathan Cohen ont été révélés à ce festival, le théâtre Lepic relance "Mises en capsule". Cette semaine, le chorégraphe Angelin Preljocaj célèbre les morts et le métal avec un spectacle consacré aux requiems. La musicienne Louise Jallu souffle un air nouveau sur le bandonéon, un instrument devenu populaire grâce au tango argentin.
Danse avec les morts
Présentée à la Villette, "Requiem(s)", la nouvelle création d’Angelin Preljocaj, interroge sur l'au-delà, les guerres et la perte d'un être cher. Ce ballet pour une vingtaine de danseurs revisite la forme classique du requiem sur fond de métal. Un ballet plein de vitalité dédié aux inertes.
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Trente minutes pour séduire le public
Le théâtre Lepic remet les artistes en capsules pour sa 16e édition. Ce festival propose des formes courtes qui mélangent le théâtre, la danse, le clown ou encore la comédie musicale. Un concept inédit qui a révélé de nombreux acteurs et permet aux artistes de démontrer la large gamme de leurs talents. Chaque soir, venez voir cinq spectacles de 30 minutes de 19h à 22h. Des soirées "Mises en capsule" sous le signe de l'audace, de la nouveauté et de l'invention dans lesquelles vous apercevrez peut-être les stars de demain.
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Un accordéon allemand qui danse le tango
Originaire de Gennevilliers, Louise Jallu sort son nouvel album intitulé « Jeu ». La joueuse de bandonéon, un instrument à vent qui accompagne traditionnellement tous les danseurs de tango, rend hommage aux origines classiques de son instrument et revisite Bach, Debussy ou encore Le Boléro de Ravel. Louise Jallu est en concert à Paris, le 6 juin au Bal Blomet et le 9 novembre à la Scala.
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