Elle est pas belle la vie ? Si.
François Morel et Antoine Sahler se lancent en chantant dans l’aventure de miniatures humaines, avec tambours et trompettes. Juliette met en scène ce cabaret tendre, projet humaniste de réconciliation durable avec le fait d’exister...........
Autour de François Morel, en arc de cercle, les musiciens et toute une batterie d’instruments.
Un vibraphone, des percussions, un violoncelle, une guitare, un piano et une trompette encerclent François Morel. Debout, au micro, il sourit, chante, se lance dans l’aventure de miniatures humaines ; douceurs de solitudes qui se réparent, vagues à l’âme, exaltations et glissades. Avec valses musettes et ritournelles, il réenchante le quotidien, peint des tableaux joyeux d’une existence faite de virages, cabossages aux tournants. Chanson du manifestant, hommage au cinéma de papa, clin d’œil aux aînés admirés, Aznavour ou Brassens.
Juliette, signe la mise en scène, et Antoine Sahler les compositions. Comédien, chanteur, poète, Morel réunit des vignettes vitales, il choisit la vie, objet rare et provisoire, comme sujet de La Vie (titre provisoire) ; ballade poivre et sel dans des jours secoués par les événements récents. Besoin d’une réconciliation rapide et durable avec le fait d’exister.
A voir au Théâtre du Rond Point du 4 octobre au 6 novembre;
Petit extrait :