VIDEO. JO de Paris 2024 : Phryges, maillots, tasses... Tout le monde s'arrache les produits dérivés des boutiques officielles

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Le Cojo mise sur 2 milliards d'euros de chiffre d'affaires pour les produits dérivés.
L. Franchineau / C. Cormery / L. Vial / N. Lachaud ©L. Franchineau / C. Cormery / L. Vial / N. Lachaud

Alors que les JO de Paris 2024 ont officiellement débuté, les files d'attente pour entrer dans les boutiques officielles se font de plus en plus longues. Et les clients semblent ravis de découvrir les produits proposés en rayon.

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Aux abords des boutiques officielles, il n'est pas rare de voir de longues files d'attente. Une situation qui a étonné certains curieux, qui ne s'attendaient pas forcément à devoir patienter. "On prend son mal en patience, et puis on attend. S'il y a la queue comme ça, c'est qu'il doit y avoir des choses importantes dedans", avance Arthur Bedfr, 32 ans, venu découvrir les produits dérivés.

D'autres viennent avant tout pour trouver quelque chose qui les fera se rappeler l'événement. "On veut voir tous les produits qui sont proposés pour les jeux. Et peut être ramener un ou deux souvenirs parce que c'est quand même un moment historique", expliquent, sourire aux lèvres, deux clientes patientant dans la file.

Plus de 1000 articles différents aux Champs-Elysées

Dans la boutique des Champs-Elysées, qui fait près de 2000 m², près de 1000 références sont disponibles à la vente. "Un drapeau pour chacun, un petit maillot, des souvenirs pour les petits enfants...", énumère un retraité de 66 ans. Il est aux aguets : "C'est l'endroit où venir vraiment, le choix est énorme et ça part vite, donc on fait son possible pour trouver tout ce qu'on veut."

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"Elles veulent un petit souvenir des JO, explique Aurélie Moreau, une directrice marketing de 43 ans venue avec ses deux filles dans la boutique. C'est important pour les enfants, ça marque aussi le fait d'être venus."

Parmi les souvenirs, on retrouve notamment la mascotte des Jeux olympiques et paralympiques : les Phryges. Si elles ont été décriées au début, certains clients semblent désormais les apprécier.

"Je la trouvais moche au début, mais là je la trouve plutôt sympa avec ses gros yeux bleus", plaisante une cliente. Un produit phare parmi les shorts à 80 euros, les mugs à 25 euros ou encore les maillots de sport à 90 euros.

Le Cojo ambitionne d'atteindre les 2 milliards d'euros de chiffre d'affaires grâce à la vente des produits dérivés. Un chiffre qui équivaut à 5% du budget des JO.

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