Le président de la cour d'assises de Paris, qui juge la filière jihadiste de Cannes-Torcy, a haussé le ton face à l'absence des victimes de l'attentat à la grenade contre une épicerie casher à Sarcelles en 2012.
Alors que le procès est dans sa cinquième semaine, pour la première fois, des victimes directes devaient être entendues, donner un visage à la souffrance et à la peur. Mais les victimes ne se sont pas présentées. Et le président s'est fâché, constatant que le procès avait du mal à prendre toute sa dimension sans la présence des victimes.
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