Jugé en février 2016, l'ex président de l'Université de Toulon avait ecopé de deux ans de prison dont un avec sursis pour corruption. Son procès en appel s'ouvre cet après midi à Aix-en-Provence.
En 2009, cette affaire avait crée un séisme dans le microcosme universitaire toulonnais. Laroussi Oueslati aurait monnayé l’inscription d’étudiants chinois en échange de bakchichs.
Le 24 février dernier, l'ex président de l'Université du Var, était condamné à deux ans de prison dont un avec sursis pour corruption, faux et détournements de fonds publics. Le tribunal correctionnel de Marseille l'avait également condamné à 10 000 euros d’amende.
Des condamnations de six mois avec sursis à dix-huit mois ferme avaient aussi été prononcées contre trois autres Chinois et des mandats d’arrêt demandés contre deux d’entre eux.... repartis en Chine lorsque l'affaire avait éclaté au grand jour.
Le procès en appel s'ouvre cet après-midi devant la cour d'appel d'Aix-en-Provence.