Il s'est supprimé dans sa cellule par pendaison, ce qui porte à trois le nombre de suicides en l'espace d'un mois.
Les surveillants de la prison de Nice n'ont rien pu faire.
Un détenu d'une trentaine d'années s'est pendu ce samedi dans la soirée dans sa cellule, ce qui porte à trois le nombre d'hommes qui se sont supprimés à la maison d'arrêt de Nice en l'espace d'un mois.
"C'était quelqu'un considéré comme vulnérable et la surpopulation n'explique pas son geste selon nos informations", déclare une source interrogée par l'AFP.
Une enquête a été ouverte, d'après la direction.
#Nice : Après le #suicide de son #père en #prison, le #détenu se donne la #mort également https://t.co/S4fzf0ubIz
— ACTU Pénitentiaire (@actupenit) 24 mars 2018
Déjà, le 24 février et le 28 février, deux personnes incarcérées se sont suicidées. L'une d'elle était membre de la même famille que l'homme retrouvé pendu ce samedi.