Dans le cadre du grand débat, un groupe de loueurs de la plateforme de locations Airbnb s'est créé. Leur intention : se faire entendre auprès d'un gouvernement qui ne cesse de durcir le ton vis à vis de ces locations à court terme.
Cela fait presque 2 ans qu’Isabelle Nicolas pratique le Airbnb.
Ses revenus s’élèvent à environ 8000 euros/an.
Dans le cadre du grand débat, un groupe de loueurs de la plateforme de locations #Airbnb s'est créé. Leur intention : se faire entendre auprès d'un gouvernement qui ne cesse de durcir le ton vis à vis de ces locations à court terme.
— France 3 Côte d'Azur (@F3cotedazur) 27 mars 2019
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Comme elle, 77 propriétaires azuréens réclament de n'être taxés que sur une partie de ces revenus.
Comme Benoit Dewild, qui profite de l'absence de sa fille pour louer sa chambre.
Les membres du " club d'hôtes de Nice", voudraient bénéficier d'un forfait d'exonération fiscale, à l'image d'autres plateformes participatives comme Blablacar.
Ce qui s'applique aujourd'hui au co-voiturage n'est pas actuellement prévu pour des activités lucrative comme la location saisonnière.
Quant au seuil proposé, il devrait être définitivement fixé par arrêté au plus tard le 1er juillet 2019.