Le président démissionnaire de la Région Paca et adjoint au maire de Nice, Christian Estrosi avait été condamné en première instance puis en appel, ce qui a été infirmé par la Cour de Cassation.
La cour de cassation a statué : elle a annulé une condamnation pour diffamation à l'encontre de Christian Estrosi. Il était poursuivi pour des propos sur la réintroduction du loup dans le massif du Mercantour.
Le président démissionnaire de la région Paca, poursuivi par SNE-FSU Syndicat National de l'Environnement, avait été condamné en première instance et en appel pour diffamation envers un corps de fonctionnaires.
En 1992, le loup a été réintroduit artificiellement par des fonctionnaires de l'État et par des gardes du parc du Mercantour
avait déclaré M. Estrosi.
Au mois d'aout 2014 une plainte avait été déposée par le Syndicat National de l'Environnement qui avait abouti, en 2015 à une condamnation pour diffamation en première instance. Elle avait été confirmée en appel.
M. Estrosi s'est pourvu en cassation et la cour de cassation a débouté le syndicat. "Je continuerai à me battre en faveur des agriculteurs et pour la régulation du loup. Je ne lâcherai rien sur ce sujet", a réagi Christan Estrosi
dans un communiqué.