En 2018, un facebook live fait le buzz. Mélinda Mouy, 26 ans, y apparaît le visage tuméfié et accuse le videur du High Club de violence. De son côté, la discothèque niçoise poursuit la jeune-femme pour dénonciation calomnieuse et tentative d'escroquerie. Au final, le tribunal a prononcé la relaxe.
Ce mardi 25 juin , le tribunal correctionnel de Nice a prononcé la relaxe pour l'ensemble des prévenus.
Dans cette affaire, le Procureur de la République de Nice, aavit requis 3 mois de prison avec sursis-mise à l'épreuve pour escroquerie et la relaxe pour la dénonciation calomnieuse à l'encontre de la jeune-femme. Jean-Michel Prêtre avait également requis la relaxe pour les violences imputées au videur.
Rappel des faits
L'affaire débute pour une cigarette allumée en dehors d'un fumoir. Le videur rappel à l'ordre la cliente de discothèque. A partir de ce moment là, les versions s'opposent radicalement.
La vidéo de Mélinda Mouy a été vue près de 3 millions de fois. Vidéo dans laquelle la jeune femme accuse le videur de l'avoir frappé au niveau du visage et des jambes.
De son côté, le club dément, explique qu'il s'agit d'une glissade et contre-attaque en postant un extrait d'enregistrement des caméras de surveillance, quelques minutes après l'altercation.
Sur les réseaux sociaux, cette mère de famille, maquilleuse professionnelle, est alors fortement critiquée et accusée d'avoir maquillé son visage pour y faire apparaître des hématomes.