Il règne en ville comme une ambiance d'avant grand match. A quelques heures du coup d'envoi de la demie-finale retour contre Salzbourg, la pression monte dans les rues de Marseille.
Les marseillais en sont certains, ils seront en finale de l'Europa League, ce qui serait pour le club sa cinquième finale européenne, la dernière était en 2004.
Mais pour cela, il faudra conserver sur la pelouse de Salzbourg l'avantage du match aller, les marseillais l'avaient emporté 2 - 0 jeudi dernier dans un stade Vélodrome chaud bouillant.
A prévenu Adil Rami hier en conférence de presse.Pour ne pas se voir trop beaux, il faut rester calme et être prêt, au bon moment. On va prendre du plaisir, mais à travers tout ça, on va quand même souffrir!
L'entraîneur de l'équipe de Salzbourg a répondu avec détachement et humour :
Le scénario idéal est un le 1-0 très tôt et le 3-0 très tard, nous devrons croire en nous.
A Marseille, la tension monte. Ce soir, le match sera visible sur un écran géant installé au stade Vélodrome. Hier, un millier de supporters ont chanté au centre d'entraînement de La Commanderie pour accompagner leurs joueurs et 1500 fans ciel et blancs vont donner de la voix dans la Red Bull Arena.
Ils ont déjà commencé dans les rues de la ville comme en témoigne ces vidéos postées sur twitter.
Respect les gars, l'OM c'est vous pic.twitter.com/wq8WXBvXuO
— Toto Jr. (@Toooto_13) 3 mai 2018
Hamza, Mehdi et la jeune génération des South Winners mettent l’ambiance dans les rues de Salzbourg #OM pic.twitter.com/caJKwFxnTG
— Mathieu Grégoire (@Serguei) 3 mai 2018
Les Marseillais à Salzbourg@YahooSportFR | #FCSOM | #TeamOMpic.twitter.com/DAM0zIWjVN
— #TeamOM Officiel (@TeamOM_Officiel) 3 mai 2018
Vidéo #OM : les supporters chantent le "Aux Armes" dans le centre-ville de #Salzbourg@OM_Officiel #TeamOM #ForzaOM pic.twitter.com/p8v5QKQvww
— La Provence OM (@OMLaProvence) 3 mai 2018
Ce matin dans les rues de Marseille, on se préparait à passer cette soirée particulière dans les bars, chez soi ou devant l'écran géant du stade.
Reportage de Jacques Bertolotti et Xavier Schuffencker