Le secrétaire d'Etat aux Transports vient d'annoncer ce mardi que le repreneur de la SNCM ne sera pas obligé de régler les 440 millions de dettes réclamés par Bruxelles. Le tribunal de commerce de Marseille doit examiner les offres de reprise de la compagnie maritime le 27 mai.
La Commission européenne considère que la discontinuité est aujourd'hui établie et que le repreneur choisi par le tribunal de commerce ne sera pas exposé au remboursement des 440 millions d'aides publiques"
a annoncé mardi le secrétaire d'Etat aux Transports Alain Vidalies.
Cette somme, réclamée par Bruxelles, flottait comme une épée de Damoclès au-dessus de la compagnie maritime, placée en redressement judiciaire le 28 novembre. Le tribunal de commerce de Marseille doit examiner le 27 mai les offres de reprise qui ont été déposées.