La découverte d'un corps, dont seul le squelette a résisté à la voracité d'une horde d'insecte, terrorise la ville de Los Angeles. Tandis qu'à l'autre bout du pays, New York est secoué par la disparition d'une jeune femme. Ces deux affaires sont-elles liées ? Serait-ce l'oeuvre d'une secte ? L'auteur à succès embarque ses lecteurs dans l'horreur. Certains en ont même témoigné sur les réseaux sociaux.
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— July (@Laju61138) November 7, 2019
L'île de Beauté sous la plume grinçante d'un spécialiste du milieu
Cette année, le libraire accueille sur son stand les auteurs de polars, parmi lesquels Karine Giebel, originaire de La Seyne-sur-Mer. L'auteure publie "Toutes blessent, la dernière tue", un thriller glaçant et documenté sur l'esclavage modene.Inspiré de témoignages réels, son récit plonge le lecteur dans l’enfer de la servitude domestique à travers le destin de Tama, une enfant marocaine vendue à une famille française.
Les adeptes du roman noir pourront également découvrir le premier roman du journaliste Antoine Albertini, correspondant au Monde et grand spécialiste de la mafia corse, "Malamorte". Une enquête où les fins connaisseurs de l'île de Beauté pourront reconnaître certaines figures du milieu.
Les regards du prétoire
Mais au stand du "Carré des Mots", la fiction n'est pas la seule à l'honneur. Le dessinateur judicaire Rémi Kerfridin, dont on retrouve les croquis dans les colonnes de Nice Matin, signera un beau livre au titre bien senti : Fenêtre sur Cour.Dans ses croquis, Rémi Kerfridin a voulu représenter ces "moments d'humanité", si difficile à saisir par les mots : "Si l'audience publique passe par l'oralité, la parole, le procès se joue aussi dans le regard, décrype le dessinateur, après 22 ans de chronique judicaire. Tous les acteurs sont immobiles, donc tout le reste passe par les yeux."
