Une passionnée de juments de trait à Beaune-sur-Arzon

La filière de l’élevage de chevaux reste confidentielle. Généralement il s’agit d’un revenu complémentaire pour des éleveurs bovins. Et pourtant certains, comme Bénédicte Fournerie, ne vivent que pour son cheptel.

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Un cheptel de poulinières qu’elle tient de ses parents. Mais Bénédicte Fournerie n’a pas été pas contrainte de s’en occupée, c’est une véritable passion pour la jeune femme. Cette éleveuse est, d’ailleurs, l’une des rares à vivre exclusivement des produits de cette activité agricole. Chaque année elle récolte 300 litres de lait par an, qu’elle utilise notamment dans la fabrication de savons.

Certains iront, sans doute aussi Porte de Versailles. Les chevaux de trait font toujours parti du paysage. La filière d'élevage est confidentielle, le plus souvent il s'agit d'un revenu complémentaire pour des éleveurs de bovins. En Haute Loire, le syndicat des éleveurs de chevaux de trait vient de publier son bilan 2015. L'occasion de rencontrer, Bénédicte Fournerie, une éleveuse passionnée. Intervenants : Bénédicte Fournerie, agricultrice "la ferme Quella d'or"; Yves Jouve, Président du syndicat des éleveurs de chevaux de trait de Haute-Loire ©Reportage : Elodie Brot-Monnier, Sarah Ben-Ch


Plus de 120 éleveurs en Haute-Loire

En France, on compte près de 11 000 élevages ayant des chevaux de trait. En Auvergne-Rhône-Alpes la moitié des effectifs équidés est consacrée aux chevaux de trait. Les juments de trait représentent en Auvergne représentent près de 63% des effectifs. Ce qui représente un impact économique non négligeable dans la région, même si la filière connaît aussi les difficultés de la mécanisation.
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