Abdeslam filmé 24h/24: pour Joachim Pueyo, "en mémoire des victimes, il fallait prendre ces mesures de sécurité"

Le député-maire (PS) d'Alençon, Joachim Pueyo était l'invité de La Voix est Libre ce samedi 21 mai. Ancien directeur de la prison de Fleury-Mérogis est revenu sur les mesures de sécurité visant le terrosite présumé Salah Abdeslam.

L'essentiel du jour : notre sélection exclusive
Chaque jour, notre rédaction vous réserve le meilleur de l'info régionale. Une sélection rien que pour vous, pour rester en lien avec vos régions.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "L'essentiel du jour : notre sélection exclusive". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

Salah Abdeslam, seul membre encore en vie des commandos jihadistes du 13 novembre, a refusé de s'exprimer vendredi lors de son premier interrogatoire devant les juges d'instruction à Paris. Franck Berton, son avocat, a pointé du doigt la surveillance vidéo dont son client fait l'objet 24 heures sur 24 à la prison de Fleury-Mérogis. "On peut penser que ça ne le conduit pas à collaborer avec l'institution judiciaire, manifestement ça le bloque", a-t-il estimé, fustigeant un dispositif "qui en l'état actuel du droit est illégal".

Sur le plateau de La Voix est Libre, Joachim Pueyo, ancien directeur de cet établissement pénitentiaire, a au contraire jugé ce dispositif "parfaitement normal". Pour le député-maire (PS) d'Alençon, "en mémoire des victimes, je pense que les mesures de sécurité qui ont été prises il fallait les prendre. Imaginez un problème avec cette personne, par exemple un suicide. Vous voyez le désastre que ça pourrait faire à l'égard de ceux qui attendent ce procès".

Extrait de La Voix est Libre


Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Veuillez choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité
Je veux en savoir plus sur
le sujet
Veuillez choisir une région
en region
Veuillez choisir une région
sélectionner une région ou un sujet pour confirmer
Toute l'information