Avant le discours de François Hollande, le nom des victimes du terrorisme a été lu et des roses blanches déposées autour de la statue-fontaine de "La parole portée" aux Invalides, seul monument parisien dédié aux victimes du terrorisme. Certaines familles n'ont pas souhaité être associées.
Les organisateurs de la cérémonie, rejoints cette année par l'association "13 novembre : Fraternité et vérité" évoquent huit attentats "dans lesquels il y a eu des Français tués, du 20 septembre à aujourd'hui". Le 13 novembre à Paris et Saint-Denis (130 morts), le 15 janvier à Ouagadougou (30 morts dont deux Français), le 13 mars à Grand-Bassam en Côte d'Ivoire (19 morts, quatre Français), le 22 mars à Bruxelles (32 morts, un Français), le 1er juin à Gao au Mali (quatre morts, un Français), le 13 juin un policier et sa compagne assassinés chez eux à Magnanville (Yvelines), le 14 juillet à Nice 86 personnes tuées sur la promenade des Anglais. Enfin, le 26 juillet, un prêtre est égorgé dans son église près de Rouen.