Depuis plusieurs mois, l’association Action Barbès, qui regroupe des riverains des 9e, 10e et 18e arrondissements, a déclaré la guerre, comme bien d'autres, à ces bus de touristes qui sont des centaines dans la capitale.
Tous les quartiers touristiques connaissent le phénomène : île de la Cité, Notre-Dame, tour Eiffel, Opéra, Grands Magasins, mais aussi les gares de l’Est et du Nord, particulièrement engorgées.
Des files de cars stationnés les uns derrière les autres. Parfois en double, voire en triple file, étranglant la circulation quand ils ne la bloquent pas complètement. "Ces stationnements sauvages se font même sur les voies réservées au bus, sur les pistes cyclables, c’est totalement inacceptable", s’indigne Frédéric Rémongin, d’Action Barbès. Depuis plusieurs mois, l’association, qui regroupe des riverains du 9e, 10e et 18e arrondissement a déclaré la guerre à ces bus de touristes qui sont très nombreux dans la capitale. Mais le problème n'en finit pas, car c'est beaucoup plus compliqué que cela.